J'entrais dans la boutique en secouant mes cheveux trempés. Je regardais autour de moi. J'étais au paradis de l'électronique. Je m'avançais et regardais les appareil photo en vitrine. Je me détournais des numériques et allait vers les anciens, à pellicules et chambre noire... J'en trouvais un qui me plaisait bien, avec du vrai cuir et dont le prix me surpris. Un peu trop chèr par rapport aux pris du marché, mais on était en amérique tout de même.

Je regardais l'homme qui m'interpellait en levant les yeux, ce qui voulait dire qu'il était plus grand que moi, et je me sentais tout petit. Je lui faisais mon plus beau sourire :

"Cet appareil photo là ! C'est quel model ?"

Je désignais l'objet de ma convoitise en jaugeant si je pourrais faire baisser le prix. Je ne préférais pas m'y risquer bizarrement. Après tout j'avais assez d'argent pour faire des petites folies.

J'entrais dans la boutique, il me fallait une nouvelle télé, je vis un grand homme s'esclaffer avec un nippon, sans doute le vendeur. Je cherchais dans la boutique un grand écran. Sans doute n'en avait-il pas comme je le souhaitais mais autant essayer. Je m'approchai du vendeur. Je vis tout de suite l'appareil photo. Cela m'arracha un sourire, j'aime bien les touriste japonais.

- S'il vous plait? je souhaiterai acheter le même appareil que ce monsieur...

L'imposant homme me suivis jusqu'a la caisse, je payais l'appareil et j'allait le tendre au japonais

- BA du jour. lui fis-je avec un clin d'oeil. Non, sans rire, monsieur le vendeur, auriez vous une télé d'une taille collossal? non, pas un home cinema, j'en est deja un dans mon sallon, juste une énorme télé pour ma chambre.

*THX*

Je saisis l'appareil photo entre mes mains *LUCKY* pensais-je en offrant mon plus beau sourire à l'inconnu. Tout les New Yorkais ne sont pas des associables (pas comme les parisiens... ah! les français!!)

"C'est cool. Merci."

Je m'approchais tandis qu'il allait regarder les télévisions, je me sentais un peu obliger de m'intéresser, et puis, ça ne pouvait pas faire de mal, un peu de contact humain, pour le coup.

"Un home cinema dans le salon ? Whao!" Même si j'avais de l'argent je n'en était pas à ce niveau là. Moi, je m'arrêtais à l'écran plat. Cet homme devait être riche.

"Je m'appelle : Kazuya Shin." me présentais-je en tendant ma main (non sans, en raison de ma méfiance casi continuelle, avoir fait protection avec un courant de vent protecteur.)

Je regardais la main que l'on me tendais puis, je la lui serrais.

-Alistaire Wolfgang, Architecte.

je regardais je nippon devant moi.

-Mon home-cinema n'est pas comparable a se que je cherche, je ne trouverai sans- doute pas ici. Vous etes en vacance?

As mettre presentai j'avais tendu ma carte de visite.

"La vache !! T'es généreux, mec !!" lança Charlie à Alistaire.

Il s'approcha à nouveau des deux clients qui regardaient les écrans de télévision. En passant, il donna un conseil à ses employés :

"Faites gaffe, les gars, c'est du lourd ces cartons : faut pas les faire tomber. Les ordinateurs de Apple, les Mac, sont chers et faut pas les déglinguer avant de les vendre !!" dit-il.

-Il parait que c'est un qualité... Mais dites moi, vous n'avait rien de plus grand qu'un home-cinema? En ecran, biensur, il me faudrais... Et bien, a peut pres la taille d'un ecran de cinema enfaite...

je regardais le vendeur avec un sourire amusé.

- Je prendrais la taille au dessous, si vous n'avais pas se que je veux... V savais quoi? j'aime bien cette boutique, accepteriez vous un pour boire? Qui plus est, je vous aime bien, vous, vous etes chalereux avec les client, un comportement que j'aime

Jsuis pire qu'un inspecteur parfois, pensai-je amusé

Je pris la carte de visite du dénommé Alistaire, qui d'après ce que je lu était un architecte. Je répondais à sa question en souriant. Je devais vraiment avoir l'air de débarqué de mon Japon :

"Je vis ici à présent" dis-je simplement. "Vous devez avoir de la place chez vous !" "Mais un bon écran ne sert à rien sans une bonne sono... je dis ça... je dis rein."

Je lui souriais et jetais un regard au vendeur. Un drôle de personnage, intéressant.

[la faute est volontaire, il parle mal l'américain... donc les expressions et lui...]

-humhum...

Je pris mon calepin, et j'ecrivais un chiffre a quatre zero dedans. Je t'endais alors le bout de papier a l'homme, qui le pris et regarda le chiffre, stupeffait

- Cela vous suffira? liquide vous avez donc dit...

Je sortis d'une poche interieure de ma veste mon porte feuille et en extrait alors une liasse et je la glisse dans les mains de l'homme. Puis je me tourne vers l'asiatique

- Chaqu'un de mes ecran, quelqu'il soit, sont equipé d'un systeme 8.1 son 3D. Je profite beaucoup de mon heritage, bien que ma fortune personnel soit faite.

Je ne savais quoi faire, alors je fouillais mes poches, à la recherche d'un papier.

"Je vous trouve cool, alors je vous donne mon numéro. Si un jour vous avez besoin d'aide physique, ou qu'importe. Je sais tout faire!" Je griffonnais mon numéro de portable et le tendais à l'inconnu.

"Je passerais en coup de vent." dis-je en ayant un sourire amusé à ce jeu de mot dont j'étais le seul à avoir conscience.

"Ouais, mon gars, j'ai une adresse e-mail !! Allez ciao mec !!" lança Charlie.

Il l'inscrivit sur un post-it et la donna à Jack avec un sourire. Il lui fit ensuite un signe de la main alors que le journaliste quittait la boutique. Charlie resta ensuite au comptoir pour compter l'argent de la caisse. Il esquissa un sourire en voyant tout l'argent qu'il avait encore amassé en une seule journée et se dit qu'il allait pouvoir une prime de fin de mois à tous ses employés et à sa femme et lui-même.