Cogito ergo sum, nous disait le philosophe français Descartes au XVII° siècle. Je pense donc je suis. Certes, mais penser s’apprend et quoi de mieux pour apprendre à penser que de faire des études ?

Les études, que l’on peut faire dans la plupart des grandes villes des Etats-Unis ou même du monde entier, sont l’idéal pour se cultiver et se construire. C’est grâce à cela que l’on trouve, bien souvent, un métier.
Mais n’y a-t’il aucun revers à ce parcours, qui apparaît à première vue comme une étape agréable en tous points ? Si vous connaissez des étudiants, ils vous diront que si, et nous pourront vous le confirmer. Après une enquête dans l’une des plus prestigieuses universités de New York, Columbia University, nous sommes en mesure de vous dévoiler l’aperçu de la réalité que nous avons eu.


Si l’on parle de l’université de Columbia, il est nécessaire de donner une indication sur la manière d’y entrer pour étudier. Les candidats à l’inscription doivent passer des examens d’entrée pour voir si leur niveau est suffisant. La barre étant placée assez haute et le nombre de places étant limité, environ soixante-quinze pour cents des candidats sont recalés à la suite de ces examens. Les vingt-cinq pour cents des chanceux qui ont été retenus doivent ensuite valider leur inscription en déboursant près de 400 dollars. Au total, au cours d’une année universitaire, chaque étudiant devra payer un peu plus de 5000 dollars, autant dire que ce n’est pas à la portée de tout le monde. Bien sûr, il existe des bourses accordées à certains étudiants en fonction de leur niveau de revenus, mais elles ne couvrent jamais la totalité de la somme globale. Cela pose donc de nombreux problèmes aux étudiants, car même lorsqu’ils ont réglé la note de l’université, il leur reste leurs charges de loyer, les impôts, et tout ce qui est nécessaire pour vivre.

Un autre fléau qui frappe le monde des universités, et plus particulièrement celle de Columbia, c’est le taux d’échec aux examens qui ont lieu à l’issue de la première année d’études. En effet, selon les informations recueillies au sein de Columbia, un tiers seulement des élèves inscrits en première année peuvent passer en seconde année. Les autres doivent soit tenter une nouvelle première année soit se réorienter. Le pire pour ces jeunes est de se dire qu’ils ont perdu 5000 dollars et une année. Toutefois, du point de vue de la culture générale, leur année à Columbia leur a été plutôt bénéfique car ils pourront se souvenir toute leur vie de ce qu’ils ont appris.

Ce système n’est-il pas démoralisant ? Stressant ? Les étudiants sont sans cesse inquiets d’échouer et de voir leurs investissements perdus. Certains, les plus angoissés, vous diront que c’est insoutenable et qu’ils n’en dorment plus. D’autres vous assureront que, bien au contraire, c’est ce qui les motive, les pousse à faire toujours mieux pour être sûr de réussir. Tout dépend donc de la personnalité de chaque étudiant. Cela n'est en fait que le reflet du monde du travail, après les études, dans lequel on retrouve des angoissés et des plus sereins. En somme, la population étudiante n’est qu’un reflet de la population en général.
Les études sont donc bien souvent une étape incontournable dans la vie, et elles apportent avec elles des points positifs ou négatifs.

Si vous avez-vous-même fait des études dans de grandes universités, nous vous invitons à écrire à la rédaction pour apporter votre témoignage qui pourrait être retenu pour faire partie d’un éventuel futur article.

J. White

Qui n’a jamais rêvé de porter des vêtements de luxe, ne serait-ce que pour une soirée ? Bien malin qui saurait nous le dire. La mode est un monde qui a fasciné des générations et continue à le faire, aux quatre coins du monde.

Il semblerait en effet que la mode comme on la voit en France ou en Italie ait gagné les États-Unis, et plus particulièrement la métropole de New York. En effet, le célèbre couturier et photographe d’origine allemande, Karl Lagerfeld, est actuellement dans la ville que l’on surnomme la Grosse Pomme où il travaille en association avec le mannequin Pierce W. Slater. Ils sont en train de faire la promotion d’une collection du couturier en prenant des clichés de Mr. Slater et d’autres mannequins. Le Daily NYC Paper a eu le privilège d’assister à l’une de ces séances de photo et de rencontrer les deux hommes, dont la collaboration pourrait se montrer fructueuse si la collection se vend bien. Ce serait alors une récompense pour messieurs Lagerfeld et Slater qui se sont bien investis dans cette entreprise.


Pendant un après-midi complet, dans le studio new-yorkais de la marque Chanel où l’agitation règne, le mannequin va enchaîner de nombreuses prises en portant les vêtements créés par Mr. Lagerfeld afin d’en faire la publicité. Son éternel sourire ne le quitte pas et le mannequin l’affiche lors de chaque prise. Aucun doute qu’il l’entretient avec le plus grand soin. Outre la performance de Mr. Slater, il est nécessaire d’observer le professionnalisme des autres personnes qui travaillent ici, comme les autres mannequins, les couturiers qui font les retouches ou encore les photographes. Ce seront bientôt des affiches et des magazines qui seront publiés et révélés au grand public dans le but de promouvoir cette collection de vêtements de luxe. A la fin de l’après-midi, alors que toutes les photos ont été prises, tout le matériel est soigneusement rangé jusqu’à la prochaine séance et chacun s’en va tour à tour, satisfait d’avoir accompli ce travail.

Nous vous ferons prochainement découvrir des photographies de mannequins portant les produits de cette nouvelle collection accompagnées d’une interview de Pierce W. Slater, certainement le plus connu de ces mannequins.