assis dans la penombre
face a la nuit
qui me tend les bras
et alors qu'elle me saisi
je ferme les yeux.

Je me sent tomber
dans le néant, et,
en rouvrant les yeux
je me voyais plongée
dans l'océan du ciel.

Je fermais a nouveau les yeux,
pour ne pas voir ma mort
puis, lorsque je les rouvrit
il n'y avait ni ciel, ni mort
juste le noir, un couloir

Deux initial sifflet de tout coté
Deux initial jumelle...
Des portrait d'homme serieux
Des portrait de fou
Et quelque symbole de la vie.

Je me met alors a courir
sans raison, ni but
courir a corps perdu
me jeter dans l'inconnu
pourtant si famillier.

C'est alors que la porte noir
au lourd battant
fut ouverte, sur mon passage
et ainsi, je voyais, tel la mort
mon pere.

Riant et souriant
face a une fournaise infernal
M'invitant a rire, je fit une erreur
m'approchant de lui
je lui demandais "Pourquoi?"

Alors que le bras de la mort
vient se poser sur ma tete
selui de sa faux
vint prendre mon épaule.
Je cru mourir dans le vacarme de mon cri.

En me reveillant, je pris une arme et mon premier reflexe fut de tirer dans l'ombre. Halletant et suffoquant je regardais face pas a moi. Je tremblais. Mon bras armé vint cller le canon a ma tempe, plus, pressant la detente, je ne sursautait ni pour le sang, ni pour la mort, mais pour l'acte que Dieu fit de ne pas me laisser me suicider.

Je suis un monstre. Mon but est de tuer. et si je doit un jour mourir, ce sera de la mains d'un autre monstre, ou bien, je ne mourrais pas.

Je me rallongeais sur le dos puis je lancais le pistolet a l'autre bout de la piece, je ne me rendormis pas.