Le sang, cette matière commun a toute chose qui, par sa couleur, est profonde. Il était quatre heure du matin, et la place était vide. Du sang d'une femme découlais la fresque lugubre et magnifique qui maintenant s'étendait sur le sol jusqu'à rejoindre celle de sont mari, qui, plus claire, me déplaisais.
Le sang, matiere si commune et pourtant si differente. Vetu d'une cape et d'un long tissu blanc tacher de sang autour de la tete, cachant entierement mon visage, je regardais les deux fresques relatant peut etre l'histoire des deux defunts. Puis je sortis mes mains de mes manche. Elles était ganté de cuir et de loin, on l'eut dit la mort regardans deux victime. Je repris les deux chaine et je me remis a trainer les corps, accroché a l'aide de crochet leur rentrant dans la cage thoracique. D'un coup de bras, j'entendis un lourd craquement. Je ne m'en souciais pas.
"De fait, l'homme vit, quand l'ennemie meurt"
Arrivé devant la fontaine, Je tirais les deux morts encore sanglant près de moi. Je fermais alors les yeux, je respirais l'odeur de la putréfaction naissante, et du sang caillé. De cette odeur, le souvenir monta, violent comme un seisme. Il y a trois heures, dans une rue isolé mes mains s'enfoncerent dans la gorge d'un homme. Il explosa de l'interieur.
" L'amour fait mal"
Sa femme se mi a crié lorsqu'elle vint. Dix tires. Silencieux. Parfaits. De ma malette je sortis deux crochet, et je les enfonçais gravement dans les tronc inerte, encore vibrant de peur. Puis j'entamais alors mon lent pelerinage, dans les rues obscure, laissant pour mort les temoins.
"De ma main découle la souffrance et le salut de l'inférieur."
Je tremblais d'excitation rien que de repenser a ce délicieux moment. Je lancais alors les deux chaine par dessus la statue, puis, attrapant les chaines retombant, je tirais afins de isser les deux cadavre sur la statue, une fois l'entreprise faite, je pris une de deux chaine, et je refis un deuxieme tour avec, puis, tirant de toute mes force, comme pour sceller la mort, le crocher tira alors sur les chaire et dechira jusqu'au coté le pauvre homme. Des guirlandes rouge penderent alors et bougeais au grés du vent sous la statue, quelque un teintaire l'eau en rouge. Je pris alors la deuxieme chaine, puis, effectuant a nouveau cette entreprise, cette fois si, quelque confetti blanc tomberent et allèrent flotter sur l'eau.
"Du chaos né le salut de l'âme et de la mort né la vie."
Je poussais alors un rire fous face a ce sapin rouge. Des gens virent hurler au fenetre, puis, tres vite, voyant les deux corps parfaitement eclairais pas les lampe, il n'hurlerent plus que de peur. je me deplacais alors tranquillement dans l'ombre de quelque ruelle et je rentrais vite a mon domicile. Je reprenais ma mallette, laisser deriere un quelconque arbre, et je me changeais alors rapidement. laissant tout les vetement sous mon bras mais aillant gardé mon masque improvisé, par chance, le peu de gens qui me voyerent me crurent juste blessé et ne se posere pas de question qu'en au manteau que pendais a mon bras. De retour a mon appartement, je pris un copieux repas, tout en repensant a ce que j'avais fait
"Le remord est le premier pas du pardon, seul ceux qui ne veulent pas ce faire pardonner n'ont aucun remord"