Alexia

Le Hasard, le bel Hasard nous à reuni
Et si aujourd'hui j'ecrit
c'est pour toi qui, avec incertitude
m'est apparu ange dans ma solitude

La neige tombe sur mon corps
Manteau glacial, je marche
Seul dans un hiver froid du dehors
La où Solitude est mon apanache

Toi, Eté, bel Ete viens a moi
En moi, Pour mon coeur
Te voila, dans l'ombre immateriel
Me voila, dans la lumiere de ma solitude

La neige n'est plus
seul toi est toujours
et en tout temps mon coeur
pour toi s'eveil

Au sommet du monde,
la ou enfer est au dessu de ciel,
La ou resonne les sentiments des etoiles
Mon sang est là, mon coeur, mon esprit
mon ame.

Toute ces chose, a toi je peut les offrir
Toute ces chose, a mes souvenir confus
Je peut les offrir.


Ange et Démon


l'enfer est comme un miroir
ou se reflete mes larmes
et mon sang

J'etait en enfer et je levé la tete
pour regarder l'ange
pleurant, seule, triste

Sosie d'une engeance
tes yeux reflete se que ma vie a de plus cher
et tes mains sont artisantes de l'art

Ta pensé reflete un monde
ton monde
qui lentement s'efrite entre les mains des hommes

de mon enfer, je te regarde
toi et personne d'autre
escence de ma vie

et ma main tendu vers se but inaxecible
tremblante
redescent...

tandis qu'une de tes larme tombe
Dans les flamme de la damnation
je la receuille, au creu de ma main

Mon dos fremis,
de cette carapace de sang et de mort
maintenant, né les ailes blanches

et maintenant me voila qui melance, sous ton regard, maladroit
ailes deployer
je monte

Maintenant de mes mains, j'essuie tes larme.
Maintenant tes yeux reflete un autre monde
Maintenant, ils represante notre monde

L'amour.


Démon


Je suis ici en enfer
Je vit pour faire manger la terre
Des eaux bourbeuse
Des eaux poisseuse
Du fleuve mort
A ceux dont la folie fut tueuse
Et lorsque mon fouet vous mord
Et lorsque mon épée vous lacere
Et lorsque les larme du remord
Coulent sur mes joue, alors, l'air s'enflamme
Et tourbillone sur vous
Tel Martyr que vous etes, pauvre âme
Car de vos péchés, je devien fou

Si mon âme
Est aussi sombre que ma peau
Et ma lance,ma lame
Aussi prompt a transpercer que les mots
Comme sa soeur le fit jadis
Par la main de Longin
Au Fils des Fils
Alors, mes larmes
Sont elle de votre sang?
Ou bien, de celui des innocent?
Mais cette Colère,qui,tel la flamme
Me brule,me ronge
Je me consumme, dans cette misericorde

Du bruissement des plumes
le Seraphin au aile blanche
Passe, et moi, de ma pierre, j'hume
L'odeur des ames blanche
Eclatante quintessence
Ivresse infini
Qui chatouille mes sens
Et me l'emplie
Comme maintenant sa lance
A mon coeur noir
Lui vainceur de ma nonchalence
A sa vue, Lui, reflet d'ivoire
Moi, d'ébene froid et dense

Le sang jailli,
Comme il n'eu jamais jailli
Et alors que, a terre,
tel le masque de pierre
Je me brise, me fissure
Et de ma sote pensée
Je m'imagine devenir léger
Tel les ange dans le paradi sure.
Maintenant ma peau sombre tombe
Et je vois creusé ma tombe
Tandis que la peau blanche
Et les plumes eclatante se devoile.
Je vois maintenant ma tombe:

Paradis infini où,
Moi et mes freres
Somme en vie.

Etienne Prin


"Les démons peuvent aussi pleurer."